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Budget principal des dépenses (2022-2023)

Table des matières

Détails du témoignage

Date: Lundi 6 juin 2022

Lieu: QGDN, salle Malone

Heure: de 15 h 30 à 17 h 30

Témoignage :

  • L’honorable Anita Anand (première heure seulement), Ministre de la Défense nationale
  • Shelly Bruce, Chef du Centre de la sécurité des télécommunications (CST)
  • Bill Matthews, Sous-ministre de la Défense nationale
  • Gén Wayne D. Eyre, Chef d’état-major de la Défense, Forces armées canadiennes
  • Col Robin Holman, Juge-avocat général par intérim, Cabinet du juge-avocat général

Détails: La ministre de la Défense nationale comparaîtra avec de hauts fonctionnaires pour parler du Budget principal des dépenses de 2022-2023.

 

Information sur le comité et questions potentielles

Membres du comité et profils des membres

 
Portrait - John Mckay
  • Membre du NDDN depuis 2021 (ancien membre du NDDN de 2011 à 2013)
  • Ancien secrétaire parlementaire du ministre de la Défense nationale
Principaux intérêts

Défense nationale et droit de la personne

Élection à la chambre des communes
  • Élu pour la première fois en 1997; réélu en 2015
Expérience Professionnelle
  • Baccalauréat ès arts de l’Université de Toronto à Scarborough
  • Baccalauréat en droit de l’Université Queen’s
  • Avocat
Participation à des comités
  • Président du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
  • Président du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la défense nationale
  • Membre du Comité permanent de liaison (2021-)
  • Président du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (2017-2021)
    • Président, Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la sécurité publique et nationale
  • Ancien vice-président du Comité permanent de l’environnement et du développement durable (2013-2015)
  • Ancien membre du Comité permanent de la défense nationale (2011-2013)
Rôles politiques et parlementaires
  • Ancien secrétaire parlementaire du ministre de la Défense nationale (2015-2017)
  • Ancien secrétaire parlementaire du ministre des Finances (2003-2005)
  • Ancien porte-parole en matière de défense nationale (2011-2013), d’environnement (2013-2015), d’industries (2008-2009) et de Conseil du Trésor (2006-2007)
  • Coprésident du Groupe interparlementaire Canada–États-Unis (2021-)
  • Président du Groupe interparlementaire Canada–Royaume-Uni (2020-)
  • Conseiller de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (2020-)
  • Section canadienne de l’Association parlementaire du Commonwealth (2021-)
Faits intéressants pour le CST
  • L’un des rares députés ministériels à avoir voté en faveur de la motion de l’opposition du PCC en novembre 2020, qui demandait au gouvernement de prendre une décision au sujet de l’interdiction de Huawei
  • Lorsque les membres du Comité permanent de la sécurité publique et nationale étudiaient le projet de loi C-59, ils ont demandé en quoi ce projet de loi permettrait de contrer les cybermenaces pour les infrastructures privées
  • Comité de la sécurité publique, décembre 2020 : McKay se dit préoccupé par le manque de clarté dans le signalement des cyberincidents aux Canadiens
Autres intérêts
  • Droits de la personne, commerce, syndicats, droit
 
 
Portrait - Kerry-Lynne D. Findlay
  • Membre du NDDN depuis 2021
  • Ministre du cabinet fantôme pour la défense
Principaux intérêts

Soutien aux FAC, petites entreprises, droit

Élection à la chambre des communes
  • Élue pour la première fois en 2011, réélue en 2019
Expérience Professionnelle
  • Elle a étudié l’histoire, les sciences politiques et le droit à l’Université de la Colombie-Britannique
  • Elle a suivi des cours avancés à la Harvard Law School et à la Rotman’s School of Management à Toronto
  • Elle a établi un cabinet d’avocats à Vancouver
  • Elle a établi son propre cabinet d’avocats, KFindlay Law Group en 2019
  • Elle a été nommée au Delta Police Board par la Colombie-Britannique
Participation à des comités
  • Vice-président du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
    • Membre du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la défense nationale
  • Membre du Comité spécial sur l’Afghanistan (2021-)
  • Vice-président du Comité mixte spécial sur l’aide médicale à mourir (2021)
  • Membre du Comité permanent de la justice et des droits de la personne (2020-2021)
  • Vice-président et membre du Comité permanent de l’environnement et du développement durable (2020)
Rôles politiques et parlementaires
  • Ministre du cabinet fantôme pour la défense nationale (2021-)
  • Ministre du cabinet fantôme pour l’environnement et les changements climatiques (2019-2020)
  • Ministre du Revenu national (2013-2015)
  • Ministre associé de la Défense nationale (2013)
  • Secrétaire parlementaire du ministre de la Justice (2011-2013)
  • Affiliations : Association législative Canada-Chine (2021), Association parlementaire Canada-Europe (2021), Groupe interparlementaire Canada-Irlande (2021), Groupe interparlementaire Canada-Israël (2021), section canadienne de l’Association parlementaire du Commonwealth (2021), Groupe interparlementaire Canada–États-Unis (2021), Association interparlementaire Canada–Royaume-Uni (2021), entre autres
Faits intéressants pour le CST
  • Au Comité plénier (Budget supplémentaire des dépenses B), décembre 2021 : Elle a posé une question à la ministre Joly exprimant sa préoccupation, car le Canada ne fait pas partie de la nouvelle collectivité des trois avec les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie
  • Comité sur la pandémie de COVID-19, mai 2020 : Elle a posé une question pour exprimer son inquiétude, car le gouvernement a établi un partenariat avec une entreprise chinoise qui reçoit le soutien de l’armée chinoise pour mener de la recherche sur le COVID-19. Elle est préoccupée par le fait que nos organismes de renseignement ont accusé l’armée chinoise de tenter de pirater les systèmes pour accéder aux données de recherche
Autres intérêts
  • Soutien aux FAC et aide militaire, petites entreprises, droit
 
 
Portrait - Christine Normandin
  • Membre du NDDN depuis 2021
Principaux intérêts

Droit, immigration et réfugiés

Élection à la chambre des communes
  • Élue pour la première fois en 2019
Expérience Professionnelle
  • Obtention d’un baccalauréat ès sciences (sciences biomédicales) en 2006
  • Elle a été reçue avocate en 2015, elle se spécialise par la suite dans le droit international de la famille et dans les cas d’enlèvement d’enfants
  • Elle a siégé au conseil d’administration de l’École secondaire Marcellin-Champagnat et elle a été présidente de la Commission politique du Bloc québécois
  • Elle a été nommée bénévole de l’année 2018 par l’Association du Jeune Barreau de Montréal en raison des heures qu’elle a consacrées à aider les citoyens à se préparer aux audiences
Participation à des comités
  • Vice-présidente du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
    • Membre du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la défense nationale
  • Vice-présidente du Comité permanent de la citoyenneté et de l’immigration (2020 2021-)
  • Ancien membre du Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement (CPSNR)(2020)
Rôles politiques et parlementaires
  • Porte-parole du Bloc québécois en matière de défense nationale (2021-)
  • Leader parlementaire adjoint du Bloc québécois (2019-)
  • Porte-parole du Bloc québécois en matière d’immigration, de réfugiés et de citoyenneté (2019-2021)
Faits intéressants pour le CST
  • Comité sur les relations sino-canadiennes, mai 2021 : Elle est préoccupée par l’attitude plus laxiste du Canada que ses partenaires de la collectivité des cinq par rapport à Huawei
  • Travaux des subsides et ordres ministériels, février 2021 : Elle est préoccupée par la surveillance de masse du régime chinois et par les capacités de surveillance de Huawei
Autres intérêts
  • Droit, immigration et réfugiés, étudiants internationaux
 
 
Portrait - Todd Doherty
  • Membre du NDDN depuis 2021
Principaux intérêts

Anciens combattants et enjeux liés aux FAC

Élection à la chambre des communes
  • Élu pour la première fois en 2015
Expérience Professionnelle
  • Il est un ancien cadre supérieur dans le domaine de l’aviation, et a été l’un des meilleurs spécialistes du développement des affaires dans le domaine de l’aviation
  • Il a encouragé les possibilités régionales, provinciales et nationales dans le domaine du transport de passagers, de fret et de tourisme
  • Il est propriétaire d’une petite entreprise
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
  • Vice-président du Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre depuis 2020
    • Membre du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre
  • Ancien vice-président du Comité permanent des transports, de l’infrastructure et des collectivités (2020)
  • Ancien vice-président du Comité permanent de pêches et océans (2017-2019)
Rôles politiques et parlementaires
  • Ministre adjoint du cabinet fantôme pour la défense nationale (2021-)
  • Conseiller spécial sur la santé mentale et le bien-être dans le cabinet fantôme (2020-)
  • Ancien porte-parole pour les transports et ancien porte-parole pour les pêches et les océans
  • Membre des Associations parlementaires Canada-Europe, Canada-Afrique, de l’OTAN, de ParlAmericas, du Groupe Canada de l’Union interparlementaire et des Groupes interparlementaires Canada–États-Unis, Canada-Allemagne, Canada-Irlande, Canada-Israël, Canada-Italie, Canada-Japon et de l’Association législative Canada-Chine (2020)
Faits intéressants pour le CST
  • RACC, 2020 : Il a prononcé un discours sur les relations sino-canadiennes en ce qui a trait au dossier de Michael Spavor et de Michael Kovrig. Il a demandé à ce que l’ambassadeur Barton témoigne devant le comité
Autres intérêts
  • Défense du projet de loi C-211, Loi concernant un cadre fédéral relatif à l’état de stress post-traumatique
  • Jeunes à risque, intervention en situation de crise, crise des opioïdes, santé mentale, anciens combattants, FAC
 
 
Portrait - Darren Fisher
  • Membre du NDDN depuis 2016
  • Secrétaire parlementaire du ministre des Aînés
Principaux intérêts

Développement économique, assurance-médicaments nationale, relations Canada-OTAN

Élection à la chambre des communes
  • Élu pour la première fois en 2015
Expérience Professionnelle
  • Ancien propriétaire de petite entreprise et bénévole communautaire
  • Élu au Conseil régional d’Halifax en 2009 et 2012, et élu maire adjoint en 2014
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2021-) et (2016- 2019)
  • Membre du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (2021-)
  • Membres du Comité permanent sur la santé (2020- 2021)
  • Membre du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la défense nationale (2017-2019)
  • Membre du Comité permanent de la Chambre sur l’environnement et le développement durable (2016-2019)
Rôles politiques et parlementaires
  • Secrétaire parlementaire du ministre des Aînés(2021-)
  • Secrétaire parlementaire du ministre du Développement économique et des Langues officielles (2021)
  • Secrétaire parlementaire du ministre de la Santé (2019-2021)
  • Conseiller de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (2020)
  • Membre de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN, du Groupe interparlementaire Canada–États-Unis et de l’Association interparlementaire Canada–Royaume-Uni (2018-2019), entre autres
Faits intéressants pour le CST
  • NDDN, séance d’information du Commissaire du CST, mars 2017 : Il se préoccupe du fait que les partenaires de la collectivité des cinq pourraient ne pas protéger les données du Canada comme ils se sont engagés à la faire et qu’ils pourraient espionner les citoyens des autres membres de la collectivité
  • NDDN, participation du Canada à l’OTAN, janvier 2018 : On se demande si l’infrastructure canadienne et celle de l’OTAN sont protégées contre d’éventuelles compromissions de données et s’il est possible d’intervenir rapidement si survient une nouvelle cybermenace
Autres intérêts
  • Assurance-médicaments, problèmes environnementaux, santé mentale, alphabétisation et pauvreté
 
 
Portrait - Cheryl Gallant
  • Membre du NDDN depuis 2001
Principaux intérêts

Cybersécurité, Op IMPACT, BMD, la BFC Petawawa se trouve dans sa circonscription

Élection à la chambre des communes
  • Élue pour la première fois en 2000
Expérience Professionnelle
  • B.Sc. en chimie de l’Université Western Ontario
  • Directrice administrative en chef d’une petite entreprise familiale et pratique professionnelle
  • Présidente de la Commission du développement du centre-ville de la Ville de Pembroke
  • Membre du Comité consultatif sur l’économie de Pembroke
  • Ancienne chercheuse en biochimie à l’Université de Toronto
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2006-)
    • Ancienne vice-présidente du Comité permanent de la défense nationale (2016- 2017)
  • Ancienne membre du Comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie (2014-2015)
Rôles politiques et parlementaires
  • Ancien leader parlementaire adjoint de l’opposition officielle
  • Membre de l’Association législative Canada-Chine (2021)
  • Directrice de l’Association parlementaire Canada-Afrique (2020-)
  • Ministre du cabinet fantôme responsable des anciens combattants et de l’Initiative de développement économique du nord de l’Ontario (2019-2020)
  • Vice-présidente de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (2006-)
  • Membre de plusieurs associations parlementaires, dont l’Association législative Canada-Chine, l’Association parlementaire Canada-Europe et la délégation canadienne de l’Assemblée parlementaire de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe
Faits intéressants pour le CST
  • La sécurité électronique est un sujet récurrent pour Mme Gallant. Voici certaines des questions les plus importantes dans ce domaine :
    • La cybersécurité du réseau électrique; l’OTAN et le NORAD et la cybersécurité, y compris l’IdO et l’intelligence artificielle; le recrutement d’experts en cybersécurité dans l’armée; la façon dont le CST collabore avec le secteur privé; le partage d’informations au sein de la collectivité des cinq; les cyberattaques de la Russie contre la Georgie
Autres intérêts
  • Op IMPACT, BFC Petawawa (dans sa circonscription), défense antimissile balistique, maintien de la paix
 
 
Portrait - Bryan May
  • Membre du NDDN depuis 2021
  • Secrétaire parlementaire du ministre de la Défense nationale
Principaux intérêts

Anciens combattants, activisme communautaire

Élection à la chambre des communes
  • Élu pour la première fois en 2015
Expérience Professionnelle
  • B.A., Université de Waterloo
  • Membre de la haute direction de divers organismes sans but lucratif
  • Trésorier exécutif du Social Planning Council of Cambridge and North Dumfries
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
    • Membre du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la défense nationale
  • Président du Comité permanent des anciens combattants (2020- 2021)
    • Président du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent des anciens combattants (2020-2021)
  • Membre du Comité permanent de liaison (2020-2021)
  • Membre du Comité permanent des ressources naturelles (2020- 2021)
  • Président du Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du développement social et de la condition des personnes handicapées (2015-2019)
Rôles politiques et parlementaires
  • Secrétaire parlementaire du ministre de la Défense nationale (2021-)
  • Membre de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (2018-2019), du Groupe interparlementaire Canada–États-Unis (2018-2019), Groupe interparlementaire Canada-Irlande (2018-2019), Association législative Canada-Chine (2016-2017), entre autres.
Faits intéressants pour le CST
  • Aucun
Autres intérêts
  • Activisme communautaire, anciens combattants, parrain du projet de loi C-272, Loi modifiant la Loi sur le droit d’auteur : Le projet de loi C-272 redonne un peu de contrôle au consommateur et permettra aux provinces de créer leur propre loi sur le droit à la réparation. Ce projet de loi a franchi l’étape de la deuxième lecture en juin 2021.
 
Portrait - Glen Motz
  • Membre du NDDN depuis 2021
Principaux intérêts
  • Aînés, contrôle des armes à feu, soins de santé, criminalité en milieu rural
Élection à la chambre des communes
  • Élu pour la première élection en 2016 (élection partielle)
Expérience Professionnelle
  • Il a fréquenté le Hillcrest Christian College
  • Il a commencé une carrière de policier au service de police de Medicine Hat
  • Il a reçu plusieurs prix, dont la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
  • Ancien membre du Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement (CPSNR)(2020)
  • Membre du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (2017-)
  • Ancien membre du Comité mixte permanent d’examen de la réglementation (2017)
Rôles politiques et parlementaires
  • Ministre adjoint du cabinet fantôme pour la sécurité publique et la protection civile (2019-2020)
  • Ancien membre de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN, membre de la section canadienne de ParlAmericas, membre du Groupe interparlementaire Canada–États-Unis, entre autres (2017-2018)
Faits intéressants pour le CST
  • INDU, mai 2020 : Témoignage du CST
    • Il s’intéresse au niveau de fraude et au Centre antifraude du Canada
    • Il a posé à Scott Jones une question au sujet des travailleurs de la santé de première ligne qui sont la cible de cyberattaques frauduleuses pendant la pandémie de COVID-19
    • Il a interrogé Scott Jones au sujet du vol de la propriété intellectuelle par cyberattaques et espionnage
    • Il s’intéresse aux auteurs de menace parrainés par la Chine et aux activités appuyées par des États étrangers
Autres intérêts
  • Application de la loi, criminalité en milieu rural, personnes âgées, contrôle des armes à feu, soins de santé
 
Portrait - Lindsay Mathyssen
  • Membre du NDDN depuis 2021
Principaux intérêts

Égalité raciale, services de garde abordables, égalité des sexes

Élection à la chambre des communes
  • Élue pour la première fois en 2019
Expérience Professionnelle
  • Elle a étudié l’anglais et les sciences politiques à l’Université Queen’s
  • Elle a étudié la gestion sans but lucratif à l’Université Western
  • Elle a occupé divers postes d’adjoint pour quatre députés au cours des 11 dernières années
  • Elle succède à sa mère, Irene Mathyssen, qui prend sa retraite après avoir servi sur la Colline du Parlement pendant 12 ans
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
    • Membre du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la défense nationale
  • Membre du Comité permanent de la condition féminine (2020-2021)
    • Membre du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent de la condition féminine (2020-2021)
  • Membre du Sous-comité des affaires émanant des députés du Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre (2020-2021)
Rôles politiques et parlementaires
  • Porte-parole adjointe pour les femmes et l’égalité des genres (2021-)
  • Porte-parole du Nouveau Parti démocratique pour la défense nationale (2021-)
  • Leader parlementaire adjoint du NPD (2021-)
  • Membre de l’exécutif du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (2020-)
  • Membre du Groupe interparlementaire Canada-Israël, section canadienne du Groupe interparlementaire Canada–États-Unis de l’Association parlementaire du Commonwealth (2021-)
Faits intéressants pour le CST
  • Aucun
Autres intérêts
  • Égalité des genres, garde d’enfants abordable, égalité des races
 
Portrait - Jennifer O’connell
  • Membre du NDDN depuis 2021
  • Secrétaire parlementaire du ministre des Affaires intergouvernementales, de l’Infrastructure et des Collectivités
Principaux intérêts

Investissements dans l’infrastructure, changements climatiques, services de garde d’enfants abordables

Élection à la chambre des communes
  • Élue pour la première fois en 2015
Expérience Professionnelle
  • Études en sciences politiques à l’Université de Toronto
  • Elle a travaillé dans un cabinet d’avocats spécialisé en droit du travail
  • Elle a été conseillère municipale, conseillère régionale et mairesse adjointe à Pickering
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
  • Membre du Comité permanent sur la santé (2021)
  • Membre du Sous-comité des droits internationaux de la personne du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (2021)
  • Membre du Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement (2020-2021)
  • Membre du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent des finances (2017-2018)
  • Membre du Comité permanent sur les finances (2016- 2018)
Rôles politiques et parlementaires
  • Secrétaire parlementaire du ministre des Affaires intergouvernementales, de l’Infrastructure et des Collectivités (2021-)
  • Secrétaire parlementaire du ministre de la Santé (2021)
  • Secrétaire parlementaire du ministre des Finances (2018-2019)
  • Ancien membre de l’Association parlementaire Canada-Europe, de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN, de la délégation canadienne à l’Assemblée parlementaire de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, entre autres.
Faits intéressants pour le CST
  • Période des questions, mai 2021 En ce qui a trait aux deux scientifiques chinois qui ont été renvoyés du Laboratoire national de microbiologie, O’Connell a donné l’assurance que le Canada prend très au sérieux les menaces à la sécurité de la recherche et à la propriété intellectuelle
  • Débat à la Chambre, pétitions, octobre 2020 : Elle s’inquiète de la présence de télécommunications de la compagnie Huawei au Canada et de la façon dont cela affectera les relations entre le Canada et ses alliés de la collectivité des cinq
    • Elle s’inquiète de l’indépendance du Canada et du fait que le gouvernement chinois a accès au renseignement canadien au moyen des réseaux de Huawei
Autres intérêts
  • Services de garde abordables, investissements dans les infrastructures, changements climatiques
 
 
Portrait - Emanuella Lambropoulos
  • Membre du NDDN depuis 2021
Principaux intérêts

Violence fondée sur le genre, changement de culture des FAC, santé mentale, anciens combattants

Élection à la chambre des communes
  • Élue pour la première fois en 2017 (élections partielles); réélue en 2019
Expérience Professionnelle
  • Ancienne enseignante à l’école secondaire, elle a travaillé comme aide-ressource pour les élèves ayant des troubles d’apprentissage et atteints d’autisme.
  • Longue expérience de bénévolat pour soutenir les activités sportives et artistiques des enfants.
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2021-); Membre du Comité permanent de la condition féminine (2021-présent; 2017-2019);
  • Membre du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (2020-2021);
  • Membre du Comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie (2020-2021);
  • Membre du Comité permanent des langues officielles (2018-2020);
  • Membre du Comité permanent des anciens combattants (2017-2018).
Rôles politiques et parlementaires
  • Présidente du Caucus national libéral des femmes (2021-)
  • Membre de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (2018-2019)
  • Membre de l’Association interparlementaire Canada-France (2018-2019)
Faits intéressants pour le CST
  • Comparution au NDDN, Budget supplémentaire des dépenses C, 2021-2022, 23 mars 2022 : A manifesté de l’intérêt pour la sécurité de l’Arctique et l’état de préparation du Canada compte tenu de la menace croissante de la Russie.
  • Également intéressé par une technologie supplémentaire pour détecter les hypersoniques et moderniser les systèmes dans le Nord.
  • Comparution devant le NDDN, analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC pour faire face à ces menaces, 16 février 2022 : Intéressée par les menaces russes dans le cyberespace et par les relations croissantes entre la Chine et la Russie.
  • Se soucie également de la guerre idéologique et comment nous protéger dans le cyberespace.
  • Comparution du NDDN, Lettre de mandat et priorités du ministre de la Défense nationale, 9 février 2022 : A manifesté de l’intérêt pour la réalisation de la référence du MDN à la cybersécurité dans sa lettre de mandat.
  • Aussi intéressée par les discussions du CST et du SCRS au sujet de la hausse des cybermenaces, notamment de la part de la Chine et de la Russie.
  • Autre question posée : « De quoi le CST a-t-il besoin pour exécuter son mandat? » Les questions sont posées à la chef.
  • SECU, NCTA 2020, 9 décembre 2020 : Intéressée par l’Évaluation nationale des cybermenaces de 2020, en particulier la menace d’espionnage en ligne étant beaucoup plus élevée pour les entreprises canadiennes faisant des affaires à l’étranger ou travaillant directement avec des entreprises d’État étrangères.
  • Question posée : « J’aimerais savoir si vous avez des conseils pour les entreprises qui ont des contacts directs avec des auteurs de menace susceptibles d’être parrainés par des États étrangers qui pourraient menacer la cybersécurité? »
Autres intérêts
  • Violence fondée sur le genre, santé mentale, changement de culture des FAC, anciens combattants
 
 
Portrait - Sven Spengemann
  • Membre du NDDN depuis 2016
Principaux intérêts

Irak, sécurité des FAC, sécurité publique, atténuation des cybermenaces

Élection à la chambre des communes
  • Élu pour la première fois en 2015.
Expérience Professionnelle
  • Obtenu un baccalauréat en droit de la Osgoode Hall Law School
  • Doctorat de la Harvard Law School (SJD)
  • Il a travaillé comme analyste principal des politiques au Bureau du Conseil privé.
  • Il a été haut fonctionnaire de l’ONU à Bagdad dans le cadre de la Mission d’assistance des Nations Unies pour l’Irak. En Irak, il a négocié des protocoles opérationnels avec les forces de la coalition américaine pour assurer la sécurité et le soutien opérationnel et médical de la mission des Nations Unies.
  • Il a dirigé une équipe d’experts internationaux et iraquiens pour aider le Parlement iraquien et le gouvernement régional du Kurdistan dans le cadre de réformes constitutionnelles et législatives.
Participation à des comités
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (2021-)
  • Président du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (2020-)
    • Président du Sous-comité du programme et de la procédure du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (2021-)
  • Membre du Comité permanent de liaison (2021-)
  • Membre du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (2016-2019)
Rôles politiques et parlementaires
  • Coprésident de l’Association parlementaire Canada-Afrique (2020-)
  • Membre de l’exécutif du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (2020-)
  • Membre de l’Association législative Canada-Chine, du Groupe interparlementaire Canada-Allemagne, du Groupe interparlementaire Canada-Israël, de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN, du Groupe interparlementaire Canada–États-Unis, entre autres
Faits intéressants pour le CST
  • Il est en faveur du projet de loi C-59. En avril 2018, il a beaucoup parlé de clarifier l’objectif et l’importance du projet de loi auprès des autres députés.
  • Janvier 2019 : Il est préoccupé de la cyberfraude financière et se demande si le gouvernement peut en faire plus pour examiner cette question plus en profondeur.
  • Il prend la parole à plusieurs reprises pour indiquer qu’il est important que les petites entreprises qui se prévalent des services du CCC établissent une bonne infrastructure de cybersécurité.
  • Septembre 2018 : Il a posé de nombreuses questions sur l’état des relations entre la Russie et la Chine et sur les intérêts géopolitiques de la Chine.
  • Mai 2016 : Question sur les pouvoirs du CST en matière de collecte de renseignements sur un individu qui détient une double citoyenneté.
Autres intérêts
  • Droits de la personne, égalité des sexes, missions de l’ONU, cadre institutionnel, relations entre la Chine et la Russie
 

Mandat

Le NDDN étudie les lois, les activités et les dépenses du ministère de la Défense nationale et des Forces armées canadiennes. Il examine également le contexte de la sécurité nationale, continentale et internationale.

Témoignages

  • 28 mars 2022 : Le CST a témoigné avec le SCRS pour informer le Comité des menaces qui ciblent le Canada ainsi que la mesure dans laquelle les Forces armées canadiennes sont prêtes à affronter ces menaces.
  • 9 février 2022 : Le CST témoigne aux côtés de la ministre de la Défense nationale et d’autres hauts fonctionnaires pour parler des priorités et lettre de mandat.
  • 7 février 2022 : Le CST témoigne aux côtés de la ministre de la Défense nationale et du directeur du SCRS pour informer les membres du NDDN des menaces auxquelles ils sont eux-mêmes confrontés en cas d’ingérence étrangère, ainsi que pour discuter des menaces auxquelles le Canada est confronté en cas d’ingérence étrangère.
  • 2 novembre 2020 : Le CST témoigne aux côtés du ministre de la Défense nationale et d’autres hauts fonctionnaires pour parler du Budget principal des dépenses de 2020-2021.

Études principales

  • Activités et réunions dignes de mention :
    • Séance d’information du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications (mars 2017)
    • Séance d’information sur les activités en cours du Centre de la sécurité des télécommunications (mai 2016)
  • Études des dernières années :
    • Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des Forces armées canadiennes pour faire face à ces menaces
    • Lutter contre l’inconduite sexuelle dans les Forces armées canadiennes
    • Répercussions de la pandémie de COVID-19 sur les opérations des Forces armées canadiennes
    • Diversité au sein des Forces armées canadiennes
    • Contributions du Canada aux opérations internationales de maintien de la paix

Réunions précédentes (session en cours)

  • Mercredi 15 décembre 2021 : Élection du président
  • L’honorable John McKay (PLC) a été élu président. L’honorable Kerry-Lynne D. Findlay (PCC) est élue première vice-présidente; Christine Normandin (BQ) est élue deuxième vice-présidente.
  • Lundi 31 janvier 2022 : Affaires du Comité
  • Mercredi 2 février 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC
  • Lundi 7 février 2022 : Séance d’information par le SCRS et le CST
  • Mercredi 9 février 2022 : Breffage de la ministre de la Défense nationale sur sa lettre de mandat
  • Lundi 14 février 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC (2e rencontre)
  • Mercredi 16 février 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC (3e rencontre)
  • Lundi 28 février 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC (4e rencontre), présentation sur le Canada, l’OTAN et la situation en Ukraine.
  • Mercredi 2 mars 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC (5e rencontre)
  • Mercredi 9 mars 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC (6e rencontre), affaires du Comité
  • Lundi 21 mars 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC (7e rencontre)
  • Mercredi 23 mars 2022 : Budget supplémentaire des dépenses (C) 2021-2022
  • Lundi 28 mars 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC (8e rencontre)
  • Mercredi 30 mars 2022 : Analyse des menaces affectant le Canada et l’état de préparation opérationnelle des FAC (9e rencontre)
  • Lundi 4 avril 2022 : Recrutement et maintien en poste dans les Forces armées canadiennes
  • Mercredi 6 avril 2022 : Recrutement et maintien en poste dans les Forces armées canadiennes (2e rencontre)
  • Lundi 25 avril 2022 : Recrutement et maintien en poste dans les Forces armées canadiennes (3e rencontre)
  • Mercredi 27 avril 2022 : Recrutement et maintien en poste dans les Forces armées canadiennes (4e rencontre), affaires du Comité
  • Lundi 2 mai 2022 : Augmentation des déploiements opérationnels nationaux et défis pour les Forces armées canadiennes et affaires du Comité
  • Mercredi 4 mai 2022 : Affaires du Comité
  • Lundi 9 mai 2022 : Augmentation des déploiements opérationnels nationaux et défis pour les Forces armées canadiennes
  • Mercredi 11 mai 2022 : Affaires du Comité
 

Questions budgétaires

1. Quel financement le CST demande-t-il dans ce budget des dépenses?

Le CST reçoit 798,5 M$ dans ces estimations.

2. Comment ces fonds aideront-ils à assurer la cybersécurité du Canada?
  • Le CST utilisera ces fonds pour continuer à rendre opérationnels son mandat et ses pouvoirs en vertu de la Loi sur le Centre de la sécurité des télécommunications.
  • Ces fonds appuieront la contribution du CST à différents programmes et initiatives visant à protéger la sécurité du Canada. En voici quelques exemples :
    • Appuyer le Programme canadien de modernisation cryptographique (PCMC) afin de moderniser l’équipement et l’infrastructure vieillissant du gouvernement du Canada.
    • Financement du renseignement étranger du Canada contre les menaces persistantes pour éclairer la prise de décision du gouvernement du Canada et protéger la sécurité nationale.
    • Financement visant à améliorer la fiabilité et la sécurité des réseaux des technologies de l’information du gouvernement du Canada.
3. Comment le gouvernement évalue-t-il ses dépenses en matière de cybersécurité et comment détermine-t-il si les fonds attribués sont adéquats? Comment déterminons-nous si nos investissements sont suffisants?
  • Comme tous les ministères et organismes du gouvernement du Canada, le CST a des indicateurs de mesure du rendement afin d’évaluer l’efficacité de ses programmes.
  • La mesure du rendement est très importante dans la mise en place du nouveau Centre pour la cybersécurité et alors que nous cherchons à intégrer pleinement les fonctions d’autres ministères, y compris Services partagés Canada et Sécurité publique.
  • Plus généralement, le Plan d’action national en matière de cybersécurité (2019-2024) fournit une feuille de route à l’ensemble du gouvernement sur la façon d’atteindre les trois objectifs principaux décrits dans la Stratégie nationale de cybersécurité de 2018. Le Plan d’action comprend, pour le CST, de nombreuses initiatives dirigées par l’organisme avec des jalons correspondants.

Ingérence étrangère

4. Est-ce que les auteurs de menace parrainés par la Chine ou la Russie tentent de perturber les infrastructures essentielles du Canada?
  • Le CST juge que les programmes parrainés par la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord posent une menace pour le Canada.
  • Le CST juge également qu’il est très probable que des auteurs de menace parrainés par des États tentent de développer des capacités qui perturberaient les infrastructures essentielles, comme l’approvisionnement en électricité.
  • Ces auteurs de menace peuvent aussi continuer à cibler les infrastructures essentielles nationales pour recueillir de l’information, pour préparer une activité future ou pour tenter d’intimider les Canadiens.
  • Le CST croit qu’il est peu probable que des auteurs de cybermenaces perturbent les infrastructures essentielles ou leur nuisent en l’absence d’hostilités.
  • L’adoption de pratiques exemplaires en matière de cybersécurité contribue grandement à atténuer les risques d’exploitation par tout auteur de cybermenace.
5. Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, est-ce que des changements ont été observés dans les cyberintrusions ou les tentatives d’intrusion de la part d’auteurs parrainés par un État étranger?
  • Le CST continue de conseiller le gouvernement au sujet des cybermenaces et des incidents.
  • La majorité des activités malveillantes que le CST a observées pendant la pandémie de COVID-19 sont de nature criminelle, et le CST travaille avec les partenaires concernés pour s’attaquer à ces activités. Par exemple, le CST a publié des alertes et des conseils en matière de cybersécurité au sujet de campagnes d’hameçonnage liées à la COVID-19.
  • L’adoption de pratiques exemplaires en matière de cybersécurité contribue grandement à atténuer les risques d’exploitation par tout auteur de cybermenace.
6. Est-ce que des auteurs parrainés par des États ont accru leurs activités d’espionnage commercial sur des organismes canadiens?
  • Les auteurs parrainés par des États continueront, sans aucun doute, de mener des activités d’espionnage contre des entreprises, des universités ou des organisations gouvernementales au Canada pour voler de la propriété intellectuelle ou des renseignements exclusifs.
  • Les auteurs de cybermenaces parrainés par des États continueront de cibler la propriété intellectuelle liée à la lutte contre la COVID-19 afin d’appuyer leurs interventions nationales en matière de santé ou de permettre à leurs propres entreprises de reproduire illégalement des produits.
  • L’adoption de pratiques exemplaires en matière de cybersécurité contribue grandement à atténuer les risques d’exploitation par tout auteur de cybermenace.

Cybersécurité

7. Quel soutien le CST a-t-il fourni en réponse aux cyberattaques récentes ?
  • Le Centre de la sécurité des télécommunications (CST) surveille les activités de cybermenace en général, y compris celles contre les réseaux des infrastructures essentielles.
  • Le Centre pour la cybersécurité du CST a informé les exploitants des infrastructures essentielles du Canada au sujet des risques qu’ils couraient et leur a prodigué des conseils spécialisés pour les aider à atténuer les activités de cybermenaces.
  • Il y a des systèmes et des outils en place pour surveiller, détecter et analyser les menaces et prendre des mesures actives afin de les neutraliser et d’y faire face, le cas échéant.
  • Les entreprises canadiennes victimes de cybermenaces sont priées de communiquer avec le Centre pour la cybersécurité du CST.
  • Comme cette enquête est en cours, je ne peux pas en dire davantage sur l’incident.

Huawei et la 5G

8. Pourquoi le Canada a-t-il mis si longtemps à prendre une décision au sujet de Huawei ?
  • Le gouvernement du Canada prend très au sérieux la sécurité des systèmes de télécommunications du Canada et continuera de promouvoir des réseaux sûrs et résilients.
  • Ma priorité est de veiller à ce que les réseaux de télécommunications du Canada soient protégés dans le cadre de la prochaine génération d’interconnectivité.
  • C’est pourquoi le CST travaille avec des partenaires nationaux et internationaux pour trouver des moyens d’accroître la sécurité des réseaux de télécommunication sur lesquels compte le Canada.
9. Le CST a-t-il des préoccupations au sujet de l’application de médias sociaux Tik Tok ou WeChat?
  • Le Centre pour la cybersécurité du CST n’est pas un organisme de réglementation et ne peut pas ni approuver ni interdire les applications de médias sociaux.
  • Il est important que les Canadiens adoptent les bonnes pratiques de cybersécurité que publie le CST sur le site Web cyber.gc.ca.

Activités du CST et COVID-19

10. Que fait le gouvernement pour contrer la mésinformation au sujet de la COVID-19?
  • Les auteurs de cybermenaces utilisent de faux sites Web, qui imitent ceux des organismes de santé ou des ministères du gouvernement pour diffuser de fausses informations ou frauder les Canadiens.
  • Le CST intervient en aidant à repérer et à supprimer ce genre de sites Web malveillants.
  • De concert avec ses partenaires de l’industrie, le CST a contribué au retrait de plus de 10 000 sites ou adresses électroniques frauduleux, y compris ceux qui prétendent provenir de l’Agence de la santé publique et l’Agence du revenu du Canada.
  • Le CST continue également de fournir des renseignements étrangers essentiels pour orienter les décisions du Canada par rapport à l’approche à adopter concernant la COVID-19.
11. Le CST a-t-il eu à composer avec des compromissions dans nos propres organismes de recherche?
  • Le CST est au courant d’incidents liés à des menaces malveillantes visant des organismes canadiens de recherche en santé et continue d’offrir un soutien en matière de cybersécurité et de communiquer tout renseignement sur les menaces afin de limiter les répercussions potentielles sur les organismes ciblés.
  • Le CST recommande que tous les organismes canadiens de santé et de recherche demeurent vigilants et appliquent les pratiques exemplaires en matière de cybersécurité. Nommons parmi ces pratiques la surveillance des journaux du réseau, la vigilance constante par rapport aux courriels et aux appels suspects, et l’application de correctifs sur les serveurs et les systèmes essentiels pour toutes les vulnérabilités de sécurité connues.
  • Bien que le CST ne puisse pas commenter des incidents précis, il collabore avec les secteurs canadiens des soins de santé et de la recherche, ainsi qu’avec d’autres partenaires et industries, le cas échéant.
12. Qu’est-ce que le CST a fait précisément pour réduire les risques de compromissions des efforts canadiens de recherche et de développement, plus particulièrement les efforts déployés pour protéger les universités canadiennes, les ministères scientifiques du GC et le secteur privé?
  • Le CST, en collaboration avec le SCRS, continue de collaborer avec toutes ces entités pour fournir des séances d’information sur les menaces. Le CST, par l’entremise du Centre pour la cybersécurité, a publié des mesures de protection pratiques que les organisations peuvent mettre en œuvre de façon préventive. Vous les trouverez en ligne. Elles s’ajoutent aux alertes et aux avis publiés régulièrement pour attirer l’attention sur des vulnérabilités ou problèmes de sécurité.
  • De plus, lorsque le CST a été témoin de cyberactivités malveillantes à l’étranger, il a non seulement alerté les victimes et contribué à la reprise de leurs activités, mais il a aussi, en collaboration avec des partenaires gouvernementaux et ses alliés, publiquement attribué l’imputabilité de cette activité, tel que noté l’an dernier. 
  •  Plus récemment, le CST a travaillé avec Innovation, Sciences et Développement économique (ISDE) pour évaluer la posture de cybersécurité des bénéficiaires de fonds stratégiques pour l’innovation, mais il est important de noter que tous les conseils et les avis sont publics et que toutes les organisations canadiennes y ont accès.

Rapport D’évaluation des Cybermenaces Nationales

13. Qu’est-ce que le rapport d’évaluation des cybermenaces nationales? Quels renseignements y sont fournis?
  • Le Centre pour la cybersécurité produit tous les deux ans un rapport décrivant les plus grandes menaces auxquelles le Canada est confronté.
  • Le 18 novembre, le Centre pour la cybersécurité a publié le Rapport d’évaluation des cybermenaces nationales de 2020, une mise à jour de son rapport précédent publié en 2018.
  • Le Rapport d’évaluation des cybermenaces nationales de 2020 est une mise à jour du rapport de 2018 et comprend une analyse visant la période de 2018 à 2020 et des prévisions jusqu’à 2022.
  • Les principaux avis du rapport d’évaluation proviennent de diverses sources classifiées ou non classifiées Ces avis sont fondés sur les connaissances et l’expertise en cybersécurité du Centre pour la cybersécurité et sur les connaissances précieuses acquises par le CST sur les activités de cybermenace dans le monde lorsqu’il réalise ses activités de renseignement étranger.
14. Quelles sont les principales préoccupations et observations formulées dans le rapport?
  • L’Évaluation nationale des cybermenaces de 2020 fait état de quatre principales observations :
    • Premièrement, la cybercriminalité est la menace la plus susceptible d’avoir des répercussions sur les Canadiens aujourd’hui et dans les années à venir. 
    • Deuxièmement, souvent la réussite des cybercriminels s’appuie sur le fait qu’ils savent exploiter les comportements humains et sociaux. 
    • Troisièmement, les rançongiciels dirigés contre le Canada continueront presque certainement de cibler les grandes entreprises et les fournisseurs d’infrastructures essentielles. 
    • Quatrièmement, bien que la cybercriminalité constitue la menace principale, les programmes de cyberopérations parrainés par un État, notamment la Chine, la Russie, la Corée du Nord et l’Iran, représentent des menaces stratégiques contre le Canada.
 

Ligne de réponse aux médias

  • En tant qu’organisme national de cybersécurité et de renseignement électromagnétique étranger du Canada, le CST possède des capacités techniques et opérationnelles uniques.
  • La Loi sur le Centre de la sécurité des télécommunications (Loi sur le CST) énonce cinq aspects du mandat du CST, soit la cybersécurité et l’assurance de l’information, le renseignement étranger, les cyberopérations défensives, les cyberopérations actives et l’assistance technique et opérationnelle. Notre expertise technique sert à réaliser les cinq aspects de notre mandat. Notre objectif est d’assurer la sécurité des Canadiens.
  • Le programme de renseignement électromagnétique étranger du CST fournit aux hauts décideurs du Canada un aperçu des activités, des motifs, des capacités et des intentions d’adversaires étrangers et leur permet de se préparer sur la scène internationale et d’intervenir dans le cadre de divers événements mondiaux.
  • Les rapports de renseignement du CST permettent aussi de communiquer les activités étatiques hostiles et la Loi sur le CST permet au CST de prêter assistance au ministère de la Défense nationale et aux Forces armées canadiennes.
  • Nous appuyons les opérations militaires canadiennes et protégeons les forces déployées à l’étranger au moyen de cybertechniques avancées. Par exemple, le CST pourrait protéger les Forces canadiennes en perturbant la capacité d’un adversaire de communiquer ou en fournissant des renseignements sur une menace imminente.
  • La Loi sur le CST donne au CST le pouvoir légal de mener des cyberopérations pour perturber les menaces à l’étranger qui visent le Canada. Cela comprend les cyberopérations actives menées afin de réduire, d’interrompre ou de contrecarrer les capacités, les intentions ou les activités de tout État ou organisme étrangers, ou afin d’intervenir dans le déroulement de telles intentions ou activités.
  • S’il existe des motifs raisonnables de croire qu’un État ou un auteur étranger constitue une menace à la sécurité du Canada ou des forces militaires canadiennes, nous sommes prêts à prendre les mesures appropriées pour contrer la menace.
  • Nous continuons de fournir au gouvernement du Canada l’information la plus complète possible sur les priorités du Canada en matière de renseignement, ce qui contribue directement à la sécurité et à la prospérité des Canadiens.
 
  • En tant qu’organisme national de cybersécurité et de renseignement électromagnétique étranger, le CST possède des capacités techniques et opérationnelles uniques. La Loi sur le CST prévoit des pouvoirs qui nous permettent de fournir une assistance technique et opérationnelle au ministère de la Défense nationale et aux Forces armées canadiennes (FAC).
  • Le CST est autorisé à aider les FAC dans le cadre de missions militaires autorisées par le gouvernement, comme l’opération UNIFIER. Ce soutien comprend l’échange de renseignement et la cybersécurité.
  • Bien qu’il ne soit pas possible de parler d’opérations précises, il est possible d’indiquer que le CST réalise avec fiabilité sa mission et travaille avec les militaires à l’appui de l’Ukraine.
  • Ce soutien accru aidera l’Ukraine à renforcer sa sécurité et sa capacité à se défendre contre divers types de menaces.
 
  • La cybersécurité est l’un des défis économiques et de sécurité nationale des plus importants auxquels les pays sont confrontés.
  • Le Canada s’engage à promouvoir un cyberespace libre, ouvert et sécuritaire à l’échelle internationale et à le protéger.
  • Chaque jour, le gouvernement du Canada fait face à des menaces et des risques continus et persistants pour la cybersécurité.
  • Les cybermenaces peuvent résulter de vulnérabilités touchant un système ou une application, ou d’attaques délibérées, persistantes et ciblées d’auteurs externes pour obtenir l’accès à l’information.  
  • Le CST et son Centre canadien pour la cybersécurité sont déterminés à travailler avec leurs partenaires nationaux et internationaux en matière de sécurité et de renseignement pour maintenir une utilisation ouverte, fiable et sécuritaire du cyberespace.
  • Le mercredi 19 janvier 2022, le Centre pour la cybersécurité du CST a publié un bulletin sur les cybermenaces exhortant les exploitants des infrastructures essentielles du Canada à prendre conscience des activités de cybermenace connues qui sont parrainées par la Russie et à prendre des mesures d’atténuation contre celles-ci.
    • Le plus récent bulletin sur la cybersécurité du CST est un avis préventif à l’intention des exploitants d’infrastructures essentielles du Canada qui les exhorte à renforcer leur vigilance et à mener des activités préventives de surveillance des réseaux et à prendre des mesures d’atténuation.
    • De plus, il vise à accroître la sensibilisation et à attirer davantage l’attention sur les activités de cybermenace connues perpétrées par la Russie, y compris les tactiques, techniques et procédures pour cibler les technologies de l’information et les opérations.
    • Le 15 février 2022, le Centre pour la cybersécurité du CST a publié un rappel à l’intention des Canadiens. 
    cybersécurité ont publié des bulletins, des alertes et
  • Le Centre pour la cybersécurité a aussi publié une alerte le 17 janvier 2022 qui décrit le maliciel Wiper servant à cibler des organisations ukrainiennes
S’il est question de la date de diffusion du bulletin sur les menaces et du cyberincident à Affaires mondiales Canada :
  • Les cybermenaces surviennent continuellement. Le CST publie régulièrement des bulletins sur les menaces à la sécurité et des alertes de cybersécurité. Le bulletin sur la cybersécurité publié le 19 janvier par le CST faisait suite à des bulletins similaires publiés par des partenaires américains et britanniques qui visaient à faire comprendre les cybermenaces contre les infrastructures essentielles et à fournir des mesures d’atténuation.

Cyberincident qui a touché le Conseil national de recherches Canada :

  • Le Centre de la sécurité des télécommunications (CST) et son Centre canadien pour la cybersécurité (Centre pour la cybersécurité) peuvent confirmer qu’ils collaborent avec le Conseil national de recherches (CNRC) pour remédier à un récent cyberincident.
  • Nous collaborons avec le CNRC et nos partenaires gouvernementaux en cybersécurité depuis le vendredi 18 mars 2022.
  • Comme tous les autres ministères et organisations du secteur privé à travers le monde, le gouvernement du Canada doit composer avec des cybermenaces continues et persistantes. Ces dernières peuvent résulter de vulnérabilités touchant un système ou une application, ou d’attaques délibérées, persistantes et ciblées menées par des auteurs externes cherchant à obtenir accès à l’information. Nous évaluons constamment les mesures visant à protéger les Canadiens et les infrastructures essentielles contre les menaces électroniques, le piratage et le cyberespionnage.
  • À ce stade, nous ne pouvons en dire davantage sur les détails liés à cet événement. Nous pouvons toutefois vous assurer que nous continuons de travailler étroitement avec nos homologues de la cyberdéfense du Bureau du dirigeant principal de l’information du Secrétariat du Conseil du Trésor et de Services partagés Canada pour veiller à ce que des systèmes et des outils robustes soient mis en place afin de surveiller et de détecter les risques, d’enquêter sur ces derniers et de neutraliser les menaces lorsqu’elles se concrétisent.

Cybermenaces contre les infrastructures essentielles du Canada

  • Le gouvernement du Canada, par l’entremise du Centre canadien pour la cybersécurité du CST a été en contact avec des exploitants d’infrastructures essentielles afin de s’assurer qu’ils sont au courant des cybermenaces liées aux tensions géopolitiques. Le CST continue sa surveillance des auteurs de menace parrainés par la Russie et communique en temps opportun des informations sur les menaces aux Canadiens et aux organismes canadiens.
  • Nonobstant les événements géopolitiques actuels, le Centre pour la cybersécurité partage régulièrement des informations précieuses sur les cybermenaces avec ses partenaires des infrastructures essentielles du Canada au moyen de canaux protégés.
  • Il transmet entre autres des indicateurs de compromission, des conseils en matière d’atténuation des menaces et des alertes confidentielles portant sur de nouveaux maliciels et d’autres tactiques, techniques et procédures utilisées pour cibler des victimes.
  • Bien que le Centre pour la cybersécurité ne soit pas au courant de menaces spécifiques actuelles visant les organisations canadiennes en lien avec les événements en Ukraine, les cyberattaques visant l’Ukraine ont historiquement eu des conséquences à l’échelle internationale, comme le maliciel NotPetya en 2017. C’est pourquoi nous avons publié des bulletins non classifiés sur les menaces afin de rappeler aux exploitants d’infrastructures essentielles du Canada d’être aux aguets des risques et de prendre des mesures d’atténuation contre les activités de cybermenaces russes. Il est temps de prendre des mesures défensives et de faire preuve de proactivité dans le cadre de la surveillance des réseaux et de l’application des mesures d’atténuation nécessaires.
  • Le Canada entretient une relation solide et très positive avec ses partenaires de la collectivité des cinq, dont les organismes américains du renseignement, de cyberdéfense et responsables de l’application de la loi. Nous échangeons régulièrement de l’information avec nos partenaires, ce qui contribue grandement à renforcer la protection de nos pays respectifs tant sur le plan de la sûreté que de la sécurité. Nous ne pouvons confirmer ou nier l’échange de renseignement ni donner des détails précis sur la teneur d’un tel échange; toutefois nous pouvons affirmer que nous échangeons régulièrement de l’information pour défendre les infrastructures essentielles contre des menaces et que prenons des mesures adéquates sur la foi de cette information.

Incident survenu à Affaires mondiales Canada :

  • Le 24 janvier, le Bureau du dirigeant principal de l’information au Secrétariat du Conseil du Trésor (DPI-SCT) et Services partagés Canada (SPC) ont confirmé qu’ils travaillent avec des partenaires du gouvernement du Canada, dont le Centre de la sécurité des télécommunications (CST) et son Centre pour la cybersécurité, pour remédier au récent cyberincident visant Affaires mondiales Canada.
  • Le cyberincident a été détecté le 19 janvier, après quoi des mesures d’atténuation ont été prises.
  • Actuellement, les services essentiels offerts par Affaires mondiales Canada aux Canadiens fonctionnent. L’accès à un nombre très limité de services Internet demeure restreint en raison des mesures d’atténuation prises. Les travaux de rétablissement se poursuivent.
  • À l’heure actuelle, rien n’indique que d’autres ministères ont été touchés par cet incident.
  • Des systèmes et des outils sont en place pour surveiller et détecter les menaces potentielles de même que pour faire enquête sur ces menaces et prendre des mesures actives afin de contrer et neutraliser ces menaces lorsqu’elles surviennent.
  • Cette enquête est en cours. Pour des motifs de nature opérationnelle, il est impossible de donner plus de détails.
  • Nos équipes d’intervention en cas d’incident et de cyberdéfense travaillent en permanence pour repérer les compromissions et informer les éventuelles victimes au sein du gouvernement fédéral et des infrastructures essentielles du Canada. À la suite d’un cyberincident, l’équipe d’intervention prodigue des conseils et du soutien pour contenir la menace et atténuer les dommages potentiels.
  • Nous évaluons constamment les mesures visant à protéger les Canadiens et les infrastructures essentielles contre les menaces électroniques, le piratage et le cyberespionnage. Nous encourageons tous les partenaires gouvernementaux et non gouvernementaux à mettre en œuvre les pratiques exemplaires en matière de cybersécurité.

Déclaration — Le point sur le cyberincident à AMC

Le Bureau du dirigeant principal de l’information au Secrétariat du Conseil du Trésor et Services partagés Canada confirment qu’ils continuent de travailler avec leurs partenaires du gouvernement du Canada, dont le Centre de la sécurité des télécommunications et son Centre pour la cybersécurité, afin de remédier au récent cyberincident visant Affaires mondiales Canada.

Les services essentiels offerts par Affaires mondiales Canada aux Canadiens sont demeurés fonctionnels grâce aux efforts d’atténuation qui ont été déployés, et depuis nos dernières déclarations, presque tous les services prioritaires ont été rétablis. Il est important de noter que la perturbation des services Internet d’Affaires mondiales Canada au cours de la dernière semaine a été provoquée par les efforts d’atténuation déployés pour résoudre l’incident et était donc de nature préventive.

Il est tout aussi important de noter que rien n’indique que d’autres ministères ont été touchés par cet incident.

Chaque jour, le gouvernement du Canada fait face à des menaces et des risques continus et persistants pour la cybersécurité.

Les cybermenaces peuvent résulter de vulnérabilités touchant un système ou une application, ou d’attaques délibérées, persistantes et ciblées d’auteurs externes pour obtenir l’accès à l’information.  

Nous exhortons les Canadiens et les organisations canadiennes à faire preuve de vigilance et à visiter les sites Web Cyber.gc.ca et pensezcybersecurite.gc.ca pour obtenir des conseils sur la façon de préserver leur sécurité en ligne.

Commentaire du SCRS sur les milliers de cyberattaques qui ciblent le Canada chaque jour

  • Le gouvernement du Canada (GC) fait face chaque jour à des cybermenaces variées, plus ou moins sophistiquées. Les auteurs de cybermenaces sondent les systèmes et les réseaux du gouvernement des millions de fois par jour à la recherche de vulnérabilités. Ces activités sont de plus en plus fréquentes et sophistiquées.
  • Le CST s’efforce jour après jour de protéger les systèmes du gouvernement contre ces tentatives. Les centaines de millions d’activités malveillantes comprennent, par exemple, les analyses de reconnaissance, les tentatives directes d’installation de logiciels malveillants sur les réseaux gouvernementaux et les tentatives d’accès aux bases de données du GC.
  • Chaque jour, les systèmes défensifs du CST bloquent entre deux et sept milliards d’événements qui ciblent les réseaux du GC. Ces mesures de défense sont le résultat des capacités dynamiques de cyberdéfense du CST toujours prêtes à défendre les systèmes du gouvernement du Canada et à nous protéger contre les futures attaques.
  • Le CST et son Centre canadien pour la cybersécurité travaillent de concert avec Services partagés Canada et d’autres partenaires pour veiller à ce que les réseaux et infrastructures du Canada soient bien protégés contre les cyberattaques.
  • Même si nous savons que les cyberincidents canadiens sont sous-signalés aux forces de l’ordre et au Centre pour la cybersécurité, nous recevons néanmoins une centaine de rapports par mois de la part de Canadiens et d’organisations canadiennes.
  • On a signalé au Centre pour la cybersécurité 235 incidents de rançongiciels contre des victimes canadiennes entre le 1er janvier et le 16 novembre 2021. Plus de la moitié de ces victimes étaient des fournisseurs d’infrastructures essentielles. Cela dit, il est important de noter que la plupart des événements de rançongiciels ne sont pas signalés.

Principaux points en matière de cybersécurité

  • Chaque jour, l’expertise technique et sophistiquée du CST en matière de cybersécurité permet de détecter les menaces ciblant les réseaux et systèmes informatiques du Canada, en plus de préparer le Canada à y faire face et à se défendre.
  • Compte tenu des actes militaires injustifiés que commet actuellement la Russie en Ukraine, le CST et son Centre pour la cybersécurité recommandent fortement à toutes les organisations canadiennes de prendre des mesures immédiates pour renforcer leur cyberdéfense en ligne.
  • Le gouvernement du Canada s’efforce de réduire la menace que représentent les rançongiciels en ciblant les cybercriminels pour contrecarrer leurs efforts, en coordonnant ses stratégies avec celles de ses alliés internationaux et en fournissant des conseils, des avis et des services aux victimes de rançongiciels.
  • Combattre les rançongiciels n’est pas un effort qui se limite au gouvernement. De nombreux cyberincidents peuvent être prévenus. Le CST encourage toutes les entreprises à faire un examen immédiat de leurs plans de gestion des risques et de poursuite des activités tout en tenant compte de la menace des rançongiciels.
  • Des outils sont en place au CST pour surveiller et détecter les menaces, enquêter sur ces dernières et prendre les mesures actives nécessaires pour les neutraliser. Les entreprises canadiennes victimes de cybermenaces sont priées de communiquer avec le Centre pour la cybersécurité du CST
 

Notes sur les enjeux liés au budget

Note d’aperçu général du CST

  • Les estimations principales 2022-2023 du Centre de la sécurité des télécommunications (CST) s’élèvent à 798,5 M$, une augmentation nette de 83,8 M$ par rapport aux estimations principales 2021-2022 de 714,6 M$.
  • La hausse du budget principal des dépenses du CST s’explique par ce qui suit :
    • Financement de 20,8 M$ du Programme canadien de modernisation cryptographique/Projet d’infrastructure classifiée de gestion de la sécurité;
    • Financement de 23,3 M$ pour investir dans le renseignement étranger produit par le Canada contre les menaces persistantes;
    • Financement de 18,8 M$ visant à améliorer la fiabilité et la sécurité des réseaux des technologies de l’information du gouvernement du Canada;
    • Financement de 1,6 M$ pour les éléments de sécurité nationale de la Loi sur les activités associées aux paiements de détail;
    • Augmentation du financement de 22,1 M$ liée aux augmentations découlant des négociations collectives et aux modifications de nos autorisations législatives;
    • Temporisation du financement de 1,3 M$ pour protéger la démocratie canadienne;
    • Diminution de 0,9 M$ du financement des initiatives de cybersécurité;
    • Diminution nette de 0,5 M$ liée à des changements à d’autres programmes à l’appui du mandat du CST.

Détails

  • Les estimations principales 2022-2023 du Centre de la sécurité des télécommunications (CST) s’élèvent à 798,5 M$, une augmentation nette de 83,8 M$ par rapport aux estimations principales 2021-2022 de 714,6 M$.
  • La hausse du budget principal des dépenses du CST s’explique par ce qui suit :
  • Une augmentation de 20,8 M$ du financement du Programme canadien de modernisation cryptographique/Projet d’infrastructure classifiée de gestion de la sécurité.
    • Ces fonds serviront à appuyer le Programme canadien de modernisation cryptographique (PCMC) afin de moderniser l’équipement et l’infrastructure vieillissants du gouvernement du Canada, en vue de protéger les renseignements classifiés et de maintenir la capacité du Canada à établir des communications sécurisées tant à l’échelle nationale qu’internationale.
    • Le financement de l’infrastructure classifiée de gestion de la sécurité (ICGS) appuiera le développement et la mise en œuvre de nouveaux systèmes de gestion des clés cryptographiques nécessaires à la protection des communications et des informations du gouvernement du Canada.
  • Financement de 23,3 M$ pour investir dans le renseignement étranger produit par le Canada contre les menaces persistantes.
    • Le CST fournit du renseignement étranger essentiel qui permet de guider le gouvernement du Canada dans ses prises de décisions et dans la protection de la sécurité nationale.
    • Le CST prend très au sérieux sa responsabilité de protection des Canadiens contre l’ingérence étrangère et fournit du renseignement étranger à l’appui des priorités du gouvernement du Canada en matière de renseignement.
  • Une augmentation salariale représentant Financement de 18,8 M$ visant à améliorer la fiabilité et la sécurité des réseaux des technologies de l’information du gouvernement du Canada
    • Les fonds permettront d’améliorer et d’accroître le réseau du gouvernement du Canada.
    • Ils permettront en outre d’accroître la robustesse et la capacité des connexions du gouvernement du Canada à Internet et aux fournisseurs de services infonuagiques tout en veillant à la posture de sécurité (c.-à-d. les capacités de surveillance et de défense) nécessaire à la protection des données et des applications du gouvernement du Canada.
  • Une augmentation salariale représentant Financement de 1,6 M$ pour les éléments de sécurité nationale de la Loi sur les activités associées aux paiements de détail
    • Identifier les problèmes de sécurité, produire du renseignement étranger et conseiller le gouvernement sur les tendances et les menaces à la sécurité nationale liées aux fournisseurs de services de paiement (PSP).
 

Documents d’orientation

Invasion de l’Ukraine par la Russie et cybermenaces russes visant le Canada

  • Compte tenu des actes militaires injustifiés que commet actuellement la Russie en Ukraine, le CST et son Centre canadien pour la cybersécurité (Centre pour la cybersécurité) recommandent fortement à toutes les organisations canadiennes de prendre des mesures immédiates pour renforcer leur cyberdéfense en ligne.
  • Bien que le CST ne puisse pas discuter d’opérations en particulier, je peux confirmer qu’il suit de près les activités de cybermenace associées à l’invasion actuelle. Des outils sont en place pour surveiller et détecter les menaces, enquêter sur ces dernières et prendre les mesures actives nécessaires pour les neutraliser.
  • Du renseignement de cybermenace précieux provenant du CST a été transmis à des partenaires clés en Ukraine. Le CST continue également de collaborer avec les FAC pour appuyer l’opération UNIFIER.
  • À la lumière de l’augmentation des cyberactivités liées au conflit en Ukraine et des cyberattaques visant l’Ukraine qui ont par le passé eu des répercussions sur le plan international, le Centre pour la cybersécurité a publié des avis et des conseils afin d’accroître la sécurité des infrastructures essentielles du Canada.

Campagnes de désinformation

  • Depuis le début de l’invasion injustifiée de l’Ukraine par la Russie, le CST a observé plusieurs campagnes de désinformation en ligne parrainées par la Russie pour soutenir son invasion.
  • Le CST a observé les efforts coordonnés déployés par la Russie pour créer et répandre de la désinformation. Dans ses efforts de désinformation, la Russie affirme notamment attaquer seulement des cibles militaires et que le nombre de civils tués en Ukraine est beaucoup moins élevé qu’en réalité.
  • Le CST a partagé ces informations pour aider la population canadienne à se protéger contre la désinformation et à en arrêter la propagation.

Nous encourageons fortement les Canadiens à se familiariser avec les signes révélateurs de la désinformation au cyber.gc.ca.

Activités de cybermenace parrainées par la Russie

  • Le CST et le Centre pour la cybersécurité ont publié des bulletins, des alertes et des avis sur les cybermenaces à l’intention des Canadiens et des organismes canadiens pour les mettre au courant des risques accrus d’activités de cybermenaces liés à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
  • Ces conseils expliquaient comment les organismes responsables des infrastructures essentielles étaient plus à risque à l’échelle mondiale d’être ciblés par les auteurs de menaces persistantes avancées (MPA) parrainés par la Russie, leurs mandataires et des groupes indépendants de cybercriminels.
  • Ces auteurs de menace et ces groupes pourraient effectuer des cyberopérations comme le déploiement de rançongiciels ou des attaques par déni de service distribué (DDoS) contre des organisations américaines, australiennes, canadiennes, néo-zélandaises ou britanniques afin de perturber ou de saboter les fonctions des systèmes de contrôle industriels (SCI) ou des technologies opérationnelles.
  • Le 10 mai 2022, le gouvernement du Canada a uni sa voix à celle de ses partenaires et alliés pour condamner les cyberactivités destructrices menées le 24 février 2022 par la Russie contre le secteur européen des télécommunications.
  • Le 20 avril 2022, le Canada s’est joint à ses alliés de la collectivité des cinq pour publier un bulletin de sécurité sur les cybermenaces parrainées par la Russie et ciblant les infrastructures essentielles. Dans ce bulletin, le Centre pour la cybersécurité avait fourni des détails techniques sur des auteurs de menace en particulier et sur les mesures d’atténuation.

Cybersécurité et cyberincidents récents/rançongiciel

  • Il est essentiel de préserver la cybersécurité au Canada pour assurer la souveraineté, la sécurité, la prospérité et la concurrence du pays.
  • C’est pourquoi le gouvernement fédéral travaille pour renforcer notre résilience nationale en matière de cybersécurité et pour aider les Canadiens à adopter des pratiques exemplaires en matière de cybersécurité.
  • Chaque jour, le Centre de la sécurité des télécommunications (CST) utilise ses cybercapacités sophistiquées pour détecter les menaces qui pèsent sur les systèmes et les réseaux du Canada et pour assurer leur défense.
  • Le Centre canadien pour la cybersécurité, qui fait partie du CST, donne des conseils spécialisés aux Canadiens et dirige l’intervention du gouvernement en cas de cyberincident.
  • Le rançongiciel est la cybermenace la plus courante au Canada, et ce type d’attaque est en hausse.
  • Le gouvernement du Canada s’efforce de réduire la menace que représentent les rançongiciels en ciblant les cybercriminels pour contrecarrer leurs efforts, en coordonnant ses stratégies avec celles de ses alliés internationaux et en fournissant des conseils, des avis et des services aux victimes de rançongiciels.
  • Nous continuons de publier des avis et des conseils pour aider les organisations à adopter des mesures de protection plus robustes et à se dévulnérabiliser. Le CST travaille avec ses partenaires de l’industrie, dont les partenaires gouvernementaux et non gouvernementaux, pour échanger de l’information sur les menaces et sur les meilleures pratiques de cybersécurité.
  • La cybersécurité concerne l’ensemble de la société. Le gouvernement fédéral collabore avec d’autres ordres de gouvernement, avec de petites et de moyennes organisations ainsi qu’avec des défenseurs de réseau du secteur des infrastructures essentielles en vue d’améliorer la cybersécurité du Canada.

Huawei et la technologie 5G

  • Le gouvernement du Canada a procédé à un examen détaillé de la technologie 5G sans fil et des différents aspects techniques et économiques ainsi que des aspects relatifs à la sécurité nationale dont il faut tenir compte avant la mise en œuvre de la technologie 5G.
  • Depuis 2013, le Centre de la sécurité des télécommunications (CST) gère le Programme d’examen de la sécurité (PES) qui a fait ses preuves en ce qui a trait à la protection des réseaux LTE, 3G et 4G du Canada.
  • Ce programme s’inscrit dans une approche plus vaste visant à renforcer la cybersécurité dans l’ensemble du secteur canadien des télécommunications.
  • Comme annoncé le 19 mai, le PES du CST évoluera et prendra de l’expansion en vue de tenir compte des risques ciblant les principaux fournisseurs et aider l’industrie à améliorer la cybersécurité et la résilience des réseaux de télécommunications du Canada.
  • Le gouvernement a annoncé une législation qui comprendra la Loi sur la protection des cybersystèmes essentiels (LPCE) et des modifications à la Loi sur les télécommunications, ainsi que des améliorations au Programme d’examen de la sécurité (PES).
  • Réunies, ces mesures nous aideront à protéger la cybersécurité des infrastructures essentielles du Canada et nos réseaux 5G.
  • La LPCE portera sur la protection des cybersystèmes essentiels du Canada au moyen de nouvelles mesures, notamment la collaboration accrue entre le gouvernement fédéral et des entités du secteur privé et le signalement obligatoire des cyberincidents au Centre pour la cybersécurité.
  • Ma priorité est de veiller à ce que les réseaux de télécommunications du Canada soient protégés dans le cadre de la prochaine génération d’interconnectivité.
  • C’est pourquoi le CST travaille avec des partenaires nationaux et internationaux pour trouver des moyens d’accroître la sécurité des réseaux de télécommunication sur lesquels compte le Canada.

Recrutement et maintien en poste au CST

  • Le CST connaît une croissance continue. Notre effectif s’est accru de 2600 employés en 2019 à 3000 employés en 2022. Nous ne comptons pas les employés à temps partiel, les entrepreneurs et les étudiants.
  • Tout le monde sait que le recrutement au sein des organisations en haute technologie est très difficile et concurrentiel.
  • C’est la réalité du CST en raison des compétences techniques que nous exigeons pour de nombreux postes, des habilitations de sécurité nécessaires et du besoin que les candidats travaillent à partir de la région de la capitale nationale.
  • Le CST connaît habituellement un taux d’attrition de son effectif de 4 % par année, ce qui est plus bas que la moyenne de l’industrie, surtout dans le domaine de la technologie.
  • Nous continuons de moderniser notre programme de recrutement multidisciplinaire afin de concentrer nos efforts sur l’attraction des meilleurs talents canadiens dans le contexte de cet environnement technologique hautement concurrentiel.
  • Le CST valorise un effectif diversifié et inclusif qui constitue un atout afin d’améliorer et de renforcer sa mission. En intégrant diverses visions du monde, expériences et perspectives, nous apportons un nouveau regard aux problèmes existants.
  • En tant qu’organisme de sécurité et de renseignement, le CST mène ses activités dans un environnement mondial complexe et il est essentiel que le CST intègre à ses opérations des points de vue, expériences et perspectives de partout dans le monde. Autrement dit, un effectif varié nous rend meilleurs dans ce que nous faisons.
  • Le CST fait partie de la fonction publique et s’engage à ce titre à atteindre ses objectifs en matière d’équité et d’inclusion. Mettre sur pied un environnement équitable, diversifié et inclusif au CST est essentiel et est notre devoir envers les Canadiens.

Ingérence étrangère et processus démocratique

  • Le gouvernement du Canada prend au sérieux sa responsabilité de protéger sa population contre toute ingérence étrangère, peu importe la source.
  • À l’approche des élections fédérales de 2021 et durant les élections, le Centre de la sécurité des télécommunications (CST), le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), les Affaires mondiales Canada (AMC) et la Gendarmerie royale du Canada (GRC) ont collaboré étroitement au sein du Groupe de travail sur les menaces en matière de sécurité et de renseignements visant les élections (Groupe de travail MSRE).
  • Le Centre pour la cybersécurité du CST a également travaillé avec Élections Canada pour assurer la sécurité de l’infrastructure et des systèmes utilisés dans le cadre des élections.
  • Les organismes canadiens de sécurité et de renseignement ont coordonné les efforts gouvernementaux intégrés en surveillant et en signalant les menaces, ainsi qu’en sensibilisant la population à cet égard. Ils ont aussi donné des conseils visant à protéger la démocratie canadienne.
  • Les partenaires du Groupe de travail MSRE continueront de remplir leur mandat respectif et de contrer les possibles cybermenaces contre le Canada et ses institutions démocratiques.
  • Bien que les institutions et processus démocratiques du Canada soient déjà robustes et résilients, le CST continuera de les protéger activement.

Documents de référence

Épreuves

Format de rechange : Épreuves (PDF, 321 Ko)

Raison d’être

Le Centre de la sécurité des télécommunications (CST) est l’organisme national de renseignement étranger (renseignement électromagnétique) ainsi que l’autorité technique nationale en matière de cybersécurité et d’assurance de l’information au Canada.

Le CST fournit des renseignements étrangers indispensables pour informer les décisions du gouvernement du Canada sur une vaste gamme de questions, y compris la sécurité nationale.

L’expertise technique dans le domaine de la cybersécurité du CST lui permet de détecter les menaces, de s’y préparer et de se défendre contre les menaces visant les plus importants réseaux et systèmes du Canada. Le CST est autorisé à prendre des mesures proactives visant à bloquer ou à entraver les cybermenaces étrangères avant qu’elles ne causent des dommages aux systèmes du Canada. Le CST peut également mener des opérations visant à favoriser l’atteinte des objectifs nationaux.

De plus, le CST fournit une assistance technique et opérationnelle aux organismes fédéraux chargés de l’application de la loi et de la sécurité, c’est-à-dire le ministère de la Défense nationale et les Forces armées canadiennes.

La ministre de la Défense nationale est responsable du CST.

Budget des dépenses de l’organisation
  Dépenses réelles 2020 to 2021 2021 to 2022 Budget principal des dépenses 2021 to 2022 Budget des dépenses à ce jour Budget principal des dépenses 2022 t0 2023
Dépenses budgétaires

Crédits votés

(dollars)
1 Dépenses du programme 733 787 856 668 829 446 747 060 273 745 978 292

Total des crédits votés

733 787 856 668 829 446 747 060 273 745 978 292

Total des postes législatifs

45 897 687 45 728 901 49 729 868 52 528 180
Total des dépenses budgétaires 779 685 543 714 558 347 796 790 141 798 506 472
Budget principal des dépenses 2022 to 2023 par objet
Budgétaire Fonctionnement Dépenses en capital Paiements de transfert Recettes et autres réductions Total
Défendre et avancer les intérêts et les valeurs du Canada dans l’ensemble du cyberespace et grâce à ce dernier ainsi qu’au renseignement étranger 814 646 168     (16 139 696) 798 506 472
Total 814 646 168     (16 139 696) 798 506 472
Énumération des autorisations législatives
  Dépenses réelles 2020 to 2021 Budget des dépenses à ce jour 2021 to 2022 Budget principal des dépenses 2022 to 2023
Budgétaire
Contributions aux régimes d’avantages sociaux des employés 45 885 813 49 729 868 52 528 180

Postes devant être inclus dans l’annexe 1 proposée au projet de loi de crédits (pour l’exercice se terminant le 31 mars 2023)

Tous les libellés des crédits sont tels qu’ils figuraient dans les lois de crédits antérieures, à moins d’avoir été précisément mentionnés dans la section Changements au Budget principal des dépenses 2022-2023.

No du crédit Postes Montant ($) Total ($)
1
  • Dépenses du programme
  • Autorisation, au titre du paragraphe 29.1(2) de la Loi sur la gestion des finances publiques, d’affecter, au cours de l’exercice, à la compensation des dépenses engagées au cours de cet exercice, les recettes perçues au cours de celui-ci qui proviennent de ses activités, notamment la prestation de services de soutien internes en vertu de l’article 29.2 de cette loi
  745 978 292
745 978 292

Ce tableau indique les prévisions de dépenses globales par article courant de dépense qui inclut les types de biens ou de services qui doivent être acquis ou les paiements de transfert à effectuer et les recettes à valoir sur le crédit. Définitions des articles courants fournies à 7. Codes des articles pour 2022 à 2023

Dépenses budgétaires par article courant de dépense
  Personnel Transports et communications Information Services professionnels et spéciaux Location Achat de services de réparation et d'entretien Services publics, fournitures et approvisionnements Acquisition de terrains, de bâtiments et d'ouvrages Acquisition de machines et de matériel Paiements de transfert Frais de la dette publique Autres subventions et paiements Moins : Recettes à valoir sur le crédit Total
  1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12    
Centre de la sécurité des télécommunications 402 716 047                     411 930 121 16 139 696 798 506 472
Total 402 716 047                     411 930 121 16 139 696 798 506 472
Prévisions législatives
  Dépenses réelles 2020-2021 Budget des dépenses à ce jour 2021-2022 Budget principal des dépenses 2022-2023
(dollars)
Budgétaire
Centre de la sécurité des télécommunications

Contributions aux régimes d’avantages sociaux des employés

45 885 813 49 729 868 52 528 180

Autres postes législatifs présentés dans les Comptes publics du Canada

11 874    
Total budgétaire 45 897 687 49 729 868 52 528 180
Dépenses par objet
Budgétaire 2021-2022 Budget principal des dépenses Budget principal des dépenses 2022-2023
    Fonctionnement Dépenses en capital Paiements de transfert Recettes et autres réductions Total
    (dollars)
Centre de la sécurité des télécommunications
Défendre et avancer les intérêts et les valeurs du Canada dans l’ensemble du cyberespace et grâce à ce dernier ainsi qu’au renseignement étranger 714 558 347 814 646 168     (16 139 696) 798 506 472
Total 714 558 347 814 646 168     (16 139 696) 798 506 472

Articles approuvés et en cours (dollars) (articles de triage inclus)

Exigences en matière de crédits provisoires
No du crédit Libellé de crédit et explications pour les douzièmes supplémentaires Total du Budget principal des dépenses Montant alloué
1
  • Dépenses du programmes
  • Autorisation, au titre du paragraphe 29.1(2) de la Loi sur la gestion des finances publiques, d’affecter, au cours de l’exercice, à la compensation des dépenses engagées au cours de cet exercice, les recettes perçues au cours de celui-ci qui proviennent de ses activités, notamment la prestation de services de soutien internes en vertu de l’article 29.2 de cette loi
  • Aucun douzième supplémentaire n’est requis en plus des trois douzièmes habituels
745 978 292 186 494 573
 
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